Last Island
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 Carnet de Réléna

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AuteurMessage
Relena Darlian

Relena Darlian


Messages : 71
Date d'inscription : 15/09/2013

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Race : Humain
Coté coeur : Coeur solitaire
Sexualité: Hétéro curieuse

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MessageSujet: Carnet de Réléna   Carnet de Réléna EmptySam 28 Sep - 1:40





Résumé





NOM
PRENOM
RACE
AGE
METIER

Darlian
Réléna
Humaine
16 ans
Lycéenne

La vie sur Last Island

J'ai été très surprise lors de arrivée sur l'île avec toutes ces races différentes... Mais on s'y fait doucement, il suffit d'avoir un petit nid confortable.

Le lycée est un lieu de rencontres... Mais je n'imaginais pas y faire une recontre si importante ! Qui sait jusqu'où cela va nous mener ?

C'est une question qui a très rapidement eu une réponse... des plus agréables Embarassed Par contre, cela m'a laissé avec de nouvelles questions, qui ont tout mélangé dans ma tête. et lorsque j'étais en train d'y réfléchir sur le toit de l'université, une nouvelle rencontre a de nouveau tout chamboulé !

FICHE ©️ LILIEBIA



Dernière édition par Relena Darlian le Mar 29 Sep - 2:23, édité 2 fois
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Relena Darlian

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MessageSujet: Les coquineries de Réléna   Carnet de Réléna EmptySam 28 Sep - 1:49

Réléna écrit dans un petit carnet de courtes histoires coquines...
Si elle avait été... Hitomi






Malgré qu'elle soit chez elle, dans sa chambre, Hitomi frissonnait..
 
Elle avait osé... Enfin... Et cela la mettait mal à l'aise. Sakito allait venir.
Ce n'est pas comme s'il était inaccessible ou inconnu. Sakito habitait dans le même quartier, et les deux jeunes étudiants étaient parfois rentrés ensembles, bien qu'ils ne soient pas dans la même classe. A part cela, ils ne s'étaient pas beaucoup fréquentés, étant parfois des camarades de jeux dans le grand parc, au milieu du quartier. Les enfants des environs partageaient cet endroit, tandis que les parents discutaient entre eux, assis sur les bancs. Toujours est il que les deux jeunes se croisaient régulièrement, mais sans beaucoup se parler. Et si Sakito n'avait pas examiné un prospectus avec autant d'attention sur le chemin du retour, Hitomi n'aurait pas surement pas osé en discuter, puis l'inviter.
 
Le prospectus parlait de théatre amateur au lycée, il fallait présenter un extrait d'une pièce connue pour participer... Sakito avait envie d'y jouer, et Hitomi avait proposé de lui donner la réplique pour l'entrainer. Mais maintenant, elle paniquait un peu. C'est surtout que depuis quelques temps, elle regardait Sakito différemment, sans pouvoir expliquer ce qui avait changé. Peut être elle, au fond, qui commençait à avoir de jolies courbes ? Hitomi suivait l'évolution de son corps avec curiosité, joie, et beaucoup de questions...
 
Hitomi soupira, il fallait qu'elle se détende. Elle s'allongea sur son lit, et frissonna, en réfléchissant très vite. Son père était au travail, sa mère lisait en bas, mais elle ne rentrerai pas dans la chambre de sa fille sans l'avertir. Et elle lui dirai quand Sakito arrivera, laissant sa fille venir accueillir le jeune homme. Hitomi esquissa un sourire, peu de chances qu'elle soit dérangée sans être appelée avant. Elle glissa un doigt entre deux boutons de son chemisier, juste au dessus de sa poitrine qu'elle effleura doucement. Immédiatement, un tressaillement se fit sentir, et la demoiselle ferma les yeux... Son doigt glissa sur un sein, s'y attarda quelques secondes avant que Hitomi ne soupire, légèrement excitée... Elle déboutonna vite son chemisier pour dévoiler sa petite poitrine, qu'elle recommença à caresser... laissant quelques gémissements s'échapper de ses lèvres.
 
Bien vite, il lui en fallut un peu plus. Un peu hésitante, car elle ne l'avait pas fait souvent, Hitomi descendit une main ouvrir sa jupe, la fit glisser légèrement vers le bas, et elle s'apprêta à passer sa main sous sa petite culotte...
La porte de sa chambre s'ouvrit. Hitomi se figea, et essaya de se reprendre en râlant sur sa mère de ne pas entrer ainsi. Mais la voix de sa mère était lointaine, et Hitomi reconnu Sakito lorsque ce dernier répondit... Puis le jeune homme entra en tournant le dos à Hitomi, disant que sa mère lui avait dit d'entrer, il referma la porte avant de se retourner... et de découvrir le spectacle. La demoiselle, elle, était toute rouge, et totalement immobile... Si seulement c'était sa mère qui était entrée !
 
Pendant quelques secondes, les deux jeunes ne bougèrent pas, se regardant d'un air hébété pour lui, gêné pour elle. Puis Hitomi crispa ses doigts sur sa jupe, et cela agit comme un déclic... Sakito vint rapidement auprès de la demoiselle et lui prit une main, l'empêchant de se revêtir ou de se tourner.
- Hitomi-chan... pardon... Je n'avais pas remarqué que tu devenais si jolie...
Hitomi hésita.. Etait il sincère ou cherchait il simplement un moyen de la ralentir, afin de profiter de la vue le plus longtemps ? Le jeune homme continuait, un peu nostalgique :
- Il est loin le temps où nous jouions dans le parc... Dire que nous avons toujours été presque voisins, et que je ne te voyais pas...
Hitomi bougea un peu, son coeur accélérait à chaque paroles. Bien qu'un peu flatté de cette attention, elle se sentait quand même très gênée.
- Je... C'est gênant... Comment tu me regardes...
Le jeune homme rougit brusquement
- C'est que... tu es... la première que... que je vois...
 
Ce fut à la jeune fille de rougir. Elle, la première ? Elle avait pensé que Sakito aurait déjà une petite amie... Elle le regarda, mais le jeune homme se pencha et vint déposer un baiser sur un sein, juste sous le téton... Hitomi tressaillit et retint à grand peine un gémissement... qu'elle laissa finalement s'échapper lors des baisers suivants. Sa main se crispa, et elle se cambra doucement... C'était bien plus excitant que les caresses qu'elle se faisait, il y a un instant de cela ! Hitomi laissa Sakito explorer sa petite poitrine, avant de se redresser, un peu affolée.
- Ma mère...
Le jeune homme releva la tête et sourit.
- Elle vient de partir faire une course... Personne ne rentrera...
Le fait d'être seule avec Sakito ne rassura qu'à moitié Hitomi, mais les questions qui commençaient à affluer s'envolèrent, quand son ami joignit ses lèvres aux siennes... Hitomi ferma les yeux et se laissa aller à son premier baiser... Lorsqu'elle rouvrir les yeux, ses joues était toujours aussi rouges, comme celles de Sakito, mais elle se sentait plus sereine. Un second baiser eut lieu, plus long, au cours duquel la jeune fille se recoucha.
 
Hitomi regarda Sakito penché sur elle, le laissant caresser ses seins d'une main.
- C'est gênant... Tu me vois à moitié dévêtue...
Sakito hésita un peu, ne pouvant s'empêcher de regarder la corps de son amie quand elle en parla. Puis il monta une main à son col, et défit le premier bouton, aussitôt arrêté par Hitomi...
- Je.. je voudrais... voir... plus bas....
Sakito la regarda une seconde sans comprendre, puis rougit. Il hésita visiblement, et Hitomi allait insister lorsqu'il lui prit une main et la guida vers son pantalon. A eux deux, doucement, le pantalon puis le boxer glissèrent au pied du lit. Hitomi devint toute rouge, de nouveau, le regard fixé sur l'intimité dévoilée de son ami. Elle le toucha timidement, tandis que Sakito remontait caresser les seins... Des soupirs fusèrent de la part de l'un comme de l'autre
 
Peu à peu, les deux jeunes amants s'enhardirent... les soupirs devinrent gémissements, les caresses s'accentuèrent, les lèvres se rejoignirent encore... Les mains parcourant le membre durcit, Hitomi frissonnait de plaisir à chaque caresse sur son corps, elle profitait pleinement de ses nouvelles sensations, bien meilleures que ce qu'elle faisait toute seule. Et selon toute apparence, Sakito n'était pas en reste lui non plus... Il poussa soudainement un râle en s'immobilisant, juste avant que son foutre jaillisse, se répandant sur le corps de la jeune fille. Hitomi regarda ces trainées blanches sur sa main et son corps avant de comprendre ce que c'était. Elle rougit et rapprocha sa main afin de sentir le sperme, puis en gouta un peu, faisant une grimace.
- C'est bizarre...

Sakito s'allongea à coté d'Hitomi, haletant un moment avant de se relever pour attraper des mouchoirs. Il vint nettoyer la jeune fille qui rougit un peu, puis se recoucha à coté d'elle et la prit dans ses bras. Ils restèrent ainsi quelques minutes, murmurant leurs impressions et partageant des baisers tendres. Puis le jeune homme se redressa et enleva sa chemise, laissant son amie découvrir son torse. Sakito se recula ensuite, et lentement il fit glisser la jupe le long des jambes de la demoiselle. Un peu surprise, elle se laissa faire, avant de rougir lorsque ce fut le tour de sa petite culotte. Elle se cacha le visage avec ses mains jusqu'à se révéler totalement nue.
- Ohhhh... Je.. Je suis nue... Tu es le premier.... à me voir ainsi...
Le jeune homme, cependant, ne semblait pas l'écouter, perdu en contemplation devant l'intimité féminine...
 
- On dirait vraiment des lèvres...
Il avait tout juste murmuré, mais cela avait quand même fait rougir Hitomi. Elle avait une main sur le coeur, et une seule chose tournait dans sa tête... Elle était dans son lit, nue avec Sakito... C'était un rêve qui se réalisait. Elle gémit brusquement, car le jeune homme venait d'embrasser ses lèvres intimes. Et voyant le résultat, il recommença plusieurs fois, passant de petits coups de langues. Hitomi ouvrit ses cuisses et suffoqua presque sous les longues vagues de plaisir... Jamais elle n'avait connu de pareil bonheur, et son corps évidement réagit à cela, en faisant couler du jus d'amour. Un peu surpris, Sakito en lécha un peu, puis releva les yeux pour croiser le regard de son amie.
 
Les deux jeunes amants semblèrent chercher l'approbation de l'autre, sans échanger de paroles. Sakito se redressa et vint au dessus d'Hitomi pour l'embrasser fougueusement, parcourant les courbes du corps d'une longue caresse. Puis il descendit une main pour guider son membre vers l'intimité de sa dulcinée. Hitomi prolongeait le fougueux baiser en caressant le dos de son amant, avant de glisser une main vers le membre désiré... et d'y rencontrer la main de Sakito. Les deux amants se regardèrent, amusés, et mirent le membre en position devant la fine fente intime... Un court baiser échangé et Sakito donna un petit coup de rein.
 
Hitomi ferma les yeux et gémit doucement. Elle laissa son amant la pénétrer lentement, assaillie d'un nouveau Désir. Les deux jeunes étudiants gémirent à l'unisson, Sakito un peu timide n'osait pas aller trop vite... Mais leurs grand sourires en disaient long sur le Plaisir qu'ils ressentaient. Puis Hitomi grimaça en gémissant plus fort, tandis que Sakito s'arrêtait, gêné.
- Est.. Est ce que... c'est... ?
Hitomi rougit et acquiesça
- Oui... C'est... enfin... plus pour longtemps...
Ils se regardèrent un moment, haletant, et tremblant légèrement d'excitation... Puis lorsque Sakito ne put se retenir plus longtemps, il donna un coup de reins, et déchira la dernière barrière de la demoiselle. Hitomi eut un petit cri, vite remplacé par un gémissement de plaisir. De nouveau, elle ferma les yeux et s'abandonna aux assauts de son amant, et surtout aux vagues de Plaisir qu'elle découvrait. Elle senti Sakito progresser en elle en faisant des va et viens, et poussa un grand gémissement en le sentant tout au fond de son intimité.
 
Haletants, ils firent une petite pause ponctuée de baisers et de longues caresses, puis Hitomi se serra contre son amant et recommença à bouger, entrainant son ami... Sakito reprit alors ses va et viens, et les deux amants furent bientôt gagnés par l'excitation et un Désir ardent. Les assauts s'accélérèrent aussi vite que les râles et gémissements, jusqu'à ce que les deux jeunes gens s'immobilisent pour crier de Plaisir... Sakito se déversa une nouvelle fois, au plus profond d'Hitomi qui garda un sourire radieux jusque tout soit fini..
 
Les deux amants s'écroulèrent presque, haletants et le coeur battant, encore sous le coup de l'émotion et de leurs découvertes. Sakito glissa sur un coté, suivi par Hitomi qui désirait le garder en elle... Ils restèrent un long moment enlacés, s'endormant presque...
 
La répétition théâtrale était oubliée...



Réléna écrit dans un petit carnet de courtes histoires coquines...
Si elle avait été... Elle même, avec Heero Yui




La première fois que j'ai rencontré Heero, c'était au bord d'une plage. Il était couché, à moitié dans l'eau, portant une combinaison spatiale. A ce moment, je n'avais pas fait la relation avec le duel aérien vu quelques heures plus tôt... J'étais dans une navette avec mon père, rentrant d'une Colonie Spatiale et entrant dans l'atmosphère Terrestre. Un appareil avait surgit, avec une trajectoire parallèle. Une fois en atmosphère, il s'était révélé être un robot géant, une Armure Mobile d'un type nouveau. Notre escorte de 3 Armure Mobile l'a immédiatement pris en chasse, mais deux tirs suffirent à détruire deux escorteurs... Heureusement, le troisième pilote ne laissa pas le temps à cet assaillant de tirer une nouvelle fois, et il se précipita sur le robot ennemi, l'immobilisant contre lui. En prenant soin de bloquer l'ouverture du poste de pilotage, emprisonnant l'ennemi. Puis les deux robots furent précipités vers la mer, la violence du choc allait détruire les deux appareils. Je pus voir notre pilote quitter son robot et sauter en parachute, et nous pûmes atterrir en toute sécurité. Une grande partie de l'équipe de Père l'attendait, et ils improvisèrent une réunion, demandant finalement un salon privé dans l'astroport même. Quand à moi, Père me confia à un de nos chauffeurs, qui m'emmena à mon lycée -privé et internat, bien sûr-

Cependant, je souhaitais respirer l'air marin et les embruns. Le chauffeur ne fit aucune difficulté à me laisser près de la plage, qu'il me suffisait de suivre pour arriver à mon lycée. C'est là, entre deux rochers, que je vis Heero. J'ai appelé les secours tout en me précipitant vers lui. Habituée aux tenues spatiales, j'ai très vite enlevé son casque... Bon, d'accord, médicalement parlant je n'aurais jamais dû faire cela... Trop tard. Et j'ai été surprise de voir un jeune homme, dans la quinzaine d'années, comme moi. A ce moment là, je ne pensais pas au duel aérien vu plus tôt, mais la suite m'a tout autant étonnée. Quelques secondes plus tard, le jeune homme s'est réveillé, j'ai tout juste le temps de lui dire que les secours étaient prévenu qu'il s'est levé d'un bond. Une main cachant à peine son visage, il m'a regardé d'un air furieux.
- Tu as vu mon visage ?
Heu... Question bizarre. C'est la seule qui lui vient à l'esprit ? J'ai fait oui d'un signe de tête, évidemment que j'avais vu son visage. J'ai eu l'impression qu'il réfléchissait sur la suite à tenir, lorsqu'une sirène et un grand coup de freins nous firent tourner la tête : l'ambulance était arrivée. Je jeune homme se mit à courir vers les deux infirmiers... et les assomma si vite que je n'ai pas pu réagir. C'est stupéfaite que je regardais l'ambulance disparaître au loin, et là je commençais à penser au duel aérien... Y avait il un lien ?

Les infirmiers ne sont vite réveillés, mais ils ne purent que constater le vol de l'ambulance, me poser quelques questions et repartir à pied. Abandonnant le casque de l'inconnu, je repris ma promenade le long de la plage jusqu'au lycée, où mes amies m'accueillirent joyeusement. Jusqu'au soir, les conversations tournèrent autour des Colonies spatiales, du duel aérien... et du bal à la fin du mois. Si quelques-unes avaient déjà invité leur cavalier, je n'avais pas encore d'idée de qui inviter. Moment très attendu, car les activités politiques de ma famille et la richesse de ma famille font de moi une demoiselle convoitée. Surtout que je n'ai aucun petit ami, ni déclaré ni en secret ! De plus, je suis très jolie, ce qui attise encore plus de convoitises.
Le lendemain, au premier cours, le Directeur est venu présenter un nouvel élève. Heero Yui. En levant les yeux, je suis restée stupéfaite... C'était le jeune astronaute d'hier. J'aurais voulu être proche de lui afin de lui poser les milliers de questions que j'avais, mais il fur placé loin de moi. Durant les cours, j'ai pu observer qu'il avait un très bon niveau, et sentis que nous allons nous affronter pour les meilleures notes. L'après midi, il y a eut entrainement de polo, et nous avons vu qu'il aimait gagner, et que c'était un battant redoutable. Mais encore là, les équipes n'étant pas mixtes, je n'ai pas pu lui parler. C'est un peu avant le dîner, sur une terrasse, que j'ai pu l'approcher. Je lui ai parlé de la fête à la fin du mois, et que je souhaitais qu'il soit mon cavalier. Comme le veut l'usage, je lui tendis une enveloppe avec mon invitation écrite. Mais tous les sourires se sont figés. Heero a déchiré mon invitation en deux, puis en quatre, avant de jeter les morceaux en l'air. Il s'est penché vers moi pour murmurer :
- Je suis là pour te tuer.

J'étais inquiète les jours suivants, Heero n'a rien tenté contre moi mais il a raté plusieurs cours. Visiblement avec une bonne excuse à chaque fois car les professeurs n'ont jamais rien dit. Mais il y a eut des attaques contre notre armée, des bases, des dépôts, des usines... et les rumeurs parlent de trois Armures Mobiles différentes, de nouvelle génération. J'étais suis sûre que Heero en faisait partie... Mais pourquoi je n'ai rien dit à personne de mes soupçons ? Et nous voila au soir du bal, j'ai fini de me préparer, vérifiant une dernière fois que mes boucles d'oreilles sont bien en place, lorsqu'une silhouette apparaît à ma fenêtre. Je me retourne pour me trouver face à Heero, un pistolet pointé vers moi. C'est là, maintenant...
- Je te l'avais dit, je suis là pour te tuer.
J'acquiesce d'un signe de tête.
- Oui, je sais. Et je te sais assez déterminé pour me tuer, quoique je fasse ou dise.
- Alors tu es prête à mourir ?
La conversation me semble surréaliste, mais je suis étonnée de rester si calme. Tout le monde paniquerait, se sauverait. Je fais autre chose, d'improbable : je m'approche jusqu'à sentir le canon contre ma poitrine. Je suis sûre que les battements de mon coeur font vibrer l'arme et que Heero peut sentir mon rythme cardiaque.
- Non, bien sûr. Je n'ai que 16 ans, encore beaucoup de choses à découvrir et des tonnes de questions te concernant. Et je suis encore vierge.
Pourquoi ai-je ajouté cela ? C'est totalement... étrange. Heero ne bouge pas d'un pouce, je sais que s'il appuie sur la gâchette, je serai morte avant même de le réaliser.
- Je suis Heero Yui, pilote du Gundam Wing. Je viens des Colonies Spatiales oppressées par la Terre afin de détruire toute votre armée. Et ensuite, la Terre sera annexée par les Colonies Spatiales. Tu as vu mon visage, tu sais qui je suis et tu pourrais me dénoncer. Tu représentes un danger pour ma mission et je dois éliminer ce danger. Es tu satisfaite ?

- Un peu, en effet. J'avais des soupçons, tu disparaissais à chaque attaque dans la région. Dis moi, lorsque la Terre sera annexée, que deviendront les civils ? Seront ils massacrés comme les militaires actuellement ?
Heero hausse les épaules.
- Je ne sais pas, mes missions ne concernent que vos forces armées actuellement. Je pense que les populations seront laissées en paix. C'est l'heure maintenant.
Je prend une longue inspiration, peut être la dernière.
- Très bien. Mais ne te fais pas prendre ensuite. Ton tir va être entendu et donner l'alerte, comme le bal n'est pas commencé, tout le monde est encore réactif.
Heero a un léger sourire amusé.
- Tu t'inquiètes pour moi, ou tu penses retarder ta mort ?
Je me mordille une lèvre, et je dois réfléchir... A la base, j'aurais dit que je tentais de retarder mon exécution, mais au fond de moi, je sais que c'est faux. C'est donc honnêtement que je fixe Heero du regard.
- Crois moi si tu le veux bien, mais oui, je m'inquiète pour toi. Je ne me l'explique pas moi-même, mais j'accepte ce fait.
Heero me scrute du regard, que je soutiens sans faillir.
- Et que proposes tu ?
Quoiqu'il se passe, je meurs ce soir...

- Allons au bal. Je t'ai invité pour être mon cavalier, personne ne sera étonné de nous voir ensemble. Dansons, et lorsque le bal sera finit, nous reviendrons ici et tu me tueras.
Heero un léger rire.
- Tu pourrais en profiter pour fuir, ou pour donner l'alerte.
Je secoue la tête.
- Je suis moins rapide qu'une balle, et en qualité de cavalier, tu seras tout le temps avec moi.
- Si tu tentes quoique ce soit, je ne te tuerai pas. Je tuerai une de tes amies proches. Et je n'ai pas forcément besoin de mon arme.
J'acquiesce d'un signe de tête, lui signalant que j'ais bien compris. Il cache son arme dans son dos, à la ceinture, puis s'avance vers moi, je me tourne et lui présente mon bras. Et c'est ainsi que nous sommes allés au bal. Il y avait de nombreux invités, dont des militaires -la plupart de mes amies sont filles de militaires hauts gradés- mais Heero me glisse à l'oreille qu'il n'est pas ici pour eux. Pas ce soir, ils ont simplement un sursit. Nous dansons, nous buvons -aucun alcool, évidemment- nous discutons entre étudiants. Nous pourrions tous croire à une soirée banale. La soirée avance, nous sommes dans les derniers à partir. Et comme promis, Heero me raccompagne jusqu'à ma chambre, je prend soin de vérifier que personne ne nous voit entrer ensembles. Heero vérifie aussi avant de fermer la porte, il éteint la lumière avant de revenir près de moi.
- Dans quelques minutes, tout le monde dormira, même si le coup de feu les réveille, aucun ne réalisera que je viens de te tuer.
Je m'approche de lui, le défiant presque du regard.
- Je pourrais encore m'enfuir et appeler à l'aide.
Heero m'observe un instant, puis il a un sourire amusé.
- Oui, tu pourrais... Mais je sais comment empêcher cela.

J'e suis si surprise que je n'ai pas le temps de réagir. Heero saisit ma robe et la déchire. une grande partie du haut lui reste dans la main, le reste de la robe tombe à mes pieds. Mon seul réflexe est de plaquer une main contre ma poitrine et l'autre devant mon entrejambe. Je me sens toute rouge, et je n'arrive pas à aligner deux mots sans balbutier. Heero m'observe, avec son masque impassible.
- Tu sais que tu portes encore tes sous vêtements ? Tes mains ne cachent pas grand chose... Bon, au moins tu ne va plus sortir dans les couloirs, dans cette tenue.
Une tenue vraiment indécente, en effet. Je respire longuement afin de me reprendre, puis je me redresse face à lui, les bras le long du corps.
- Je n'aurais pas imaginé que tu fasses cela. Tu n'as rien d'un pervers... mais est ce que tu profites de la situation ?
Heero acquiesce d'un signe de tête
- Je te savais très jolie... J'en ai la confirmation.
Je m'empourpre davantage, et serre les poings. N'importe quel garçon se serait déjà reçut une baffe -ou pire- alors pourquoi je ne fais rien contre Heero ?
- Si tu crois que je ne vais pas sortir, détrompe toi. Je peux sortir et crier dans les couloirs que tu veux me violer.
Et comme pour le prouver, je me dirige vers la porte, mais Heero vient me bloquer alors que je n'ai fait que deux pas. Il se colle à mon dos, une main sur mon ventre, m'empêchant d'avancer. Je ne lutte pas, je le sais plus fort que moi mais... jusqu'ici, il n'a pas été agressif, il ne m'a pas frappée. Je sursaute en sentant sa main remonter sur un sein, et le palper doucement.
- Hee... Heero ?
Je n'arrive pas à parler, ces caresses me font frissonner, mais pas de peur. Des sensations que je ne connais pas, et que je trouve... agréables. Je reste -bêtement ?- sans bouger dans ses bras, à profiter du moment. Puis je sens son autre main dans mon dos, le long du soutien gorge... qu'il finit par ouvrir. Le tissu tombe à terre, je ne fais rien pour le retenir. Ensuite ses mains passent sous ma petite culotte, tournent autour de ma taille... Heero déchire ma petite culote, les morceaux tombent au sol. J'ai manqué de respirer une seconde, comprenant la situation.

- Je... tu es.. le premier garçon... à me voir nue.
- J'en suis très honoré... Tu vas prétendre que tu peux encore sortir dans les couloirs ? Nue ?
Heero reste dans mon dos, ses mains parcourent mes épaules, mon dos, passent sur mon ventre pour remonter sur ma poitrine. Tout cela me fait frissonner, je e retiens à grand peine de laisser des soupirs s'échapper de mes lèvres. Pourquoi je ne fais rien pour m'enfuir ? Est ce que... cela me plait, au final ? Heero m'empoigne le bras, fermement mais sans me faire mal. Il me tourne et me fais reculer, jusqu'à m'assoir sur le lit. Puis il reprend son arme en main, et pose le canon contre mon front. Je le fixe du regard, me sentant... sereine. Restant assise, je me redresse, bombant le torse. J'attends, simplement, qu'il m'exécute. Mais il ne tire pas, relève son arme et regarde la pendule, puis par la fenêtre.
- Il y a encore du monde debout, cette soirée n'en finit pas.
Il sort le chargeur de l'arme, puis extrait la balle pour les jeter dans un coin de la chambre, le revolver dans un autre coin. Il est clair que, même si je pouvais profiter d'une occasion, je ne serais pas assez rapide pour ramasser l'arme, les munitions et m'en servir.
- De toute manière, je ne sais pas me servir d'une arme. Que vas tu faire ?
Une fille nue sur son lit, la suite est facile à deviner. Pourtant, je ne peux pas dire si je le souhaite ou si je le redoute. Pourquoi Heero est il le seul à ne pas me faire peur ? Il s'est avancé et a posé un genou à terre... Il regarde entre mes cuisses. Je me sens rougir, et une fois de plus je suis surprise de ne pas avoir envie de refermer mes jambes. De ne pas être gênée qu'il m'examine.

Une main a glissée le long de ma cuisse, ce qui me fait de nouveau frissonner. Puis son pouce caresse ma toison intime, je gémis en fermant les yeux... un peu honteuse d'apprécier ce contact. Comme par réflexe, mes cuisses se sont écartées, laissant à mon tueur tout le loisir d'explorer mon intimité. J'ai donc envie de le laisser faire ? Pour découvrir tout un monde de plaisir ? J'ai l'impression que tout ce que nous faisons ensemble est... naturel, normal, comme si être ensemble avait été préparé. Son pouce caresse mes lèvres intimes et soudain, c'est un véritable choc électrique qui parcourt mon corps. Je me laisse tomber sur le lit, haletante.. et désireuse de le ressentir encore. Ma réaction n'a pas échappée à Heero, qui caresse plus lentement afin de trouver la zone sensible exacte. Et je suis heureuse qu'il retrouve mon bouton d'amour, me faisant à nouveau gémir. Puis les caresses remontent lentement sur mon ventre, s'attardent sur mes seins. Bien que je trouve cela très agréable, j'ai un peu plus de contrôle sur mon corps et mes réactions. Je rouvre les yeux et fixe Heero, avec un sourire de joie.
- Je suis la première que tu vois nue, n'est ce pas ? Si on se mettait à égalité ?
Je suis en train de lui dire... de se déshabiller ? Mais.. je suis sérieuse ? Heero se redresse et me regarde, son air impassible ne m'aide pas à deviner ses pensées. Après une longue hésitation, il commence à se déshabiller.
- Tu sais ce qu'il va se passer si nous sommes tous les deux nus ?
Je fais oui d'un signe de tête, mon regard descend au niveau de sa ceinture... Et je me sens rougir lorsque Heero retire son boxer, quand je découvre un sexe masculin, je suis intimidée... et excitée.

Je me décale sur le lit afin de faire une place pour Heero, qui se couche près de moi et me regarde... Je m'approche pour l'embrasser sur les lèvres, maladroitement. Cela fait bondir mon coeur, car Heero revient donner un second baiser... Puis un autre... Petit à petit, nos baisers deviennent moins maladroits, plus passionnés. Et enfin Heero se penche sur moi, s'installe entre mes cuisses. J'ai un gémissement étouffé quand je sens son sexe glisser à l'intérieur d'une cuisse. Et s'arrêter contre mon intimité. Heero caresse un sein, et dépose de courts baisers dans mon cou. Je lui caresse le dos, timidement et j'ai un soupire avant de lui murmurer
- Un peu plus haut...
Je le sens bouger, son membre se rapprocher de ma virginité... Je tressaille en le sentant -enfin !- me pénétrer... Puis je gémis de plaisir, m'abandonnant totalement... Il entre lentement, mon corps se cambre comme avide de cette union... Je plonge dans un tourbillon de sensations délicieuses, que je découvre avec bonheur. Plus rien d'autre n'existe, je désire Heero encore plus en moi, et il semble répondre à cette attente... venant toujours plus loin entre mes cuisses. Jusqu'à une légère gêne, qui le stoppe un peu.
- C'est... ?
J'ai un sourire et fais oui de la tête, avant de l'embrasser avidement. Je le sens forcer un peu, j'ai un cri de plaisir lorsque ma virginité s'envole... ouvrant la voie à de nouvelles sensations encore plus profondes, plus intenses. Mon corps semble savoir ce qu'il faut faire, je me surprend à bouger à l'unisson de mon amant, à chercher toujours plus de plaisir. Et à le trouver !

Heero a une hésitation, puis un râle rauque alors qu'il jouit, calé au plus profond de moi. Ses spasmes et ses jets me font crier de Plaisir, mon ventre s'est soudainement embrasé... Je suis presque inerte dans le lit, vaincue par les tourbillons d'un Plaisir suprême... Je rouvre les yeux en sentant Heero se retirer doucement, tout en me bisouillant un sein. Puis il s'allonge près de moi et me prend dans ses bras. Tous deux haletants, nous restons sans bouger, reprenant lentement nos esprits, la fatigue se rappelant à nos corps... Lorsque je me sens un peu mieux, je m'étire et me tourne vers mon amant, pour explorer son corps doucement, du bout des doigts. Il ne tarde pas  à répondre par des caresses aussi légères, mais plus centrées sur mes zones sensibles. Alors je viens l'embrasser puis me serrer contre lui, cherchant à me coller contre lui le plus possible. Nous n'avons pas besoin de nous parler, de nous demander ce que nous désirons, c'est avec une sorte de soulagement que j'accueille de nouveau mon amant en moi. Soulagement, excitation et beaucoup de bonheur.

J'ouvre un oeil, j'ai du mal à rester éveillée après une troisième étreinte. Heero est en train de se rhabiller, son arme est près de lui... je suis sûre qu'il peut de nouveau s'en servir. Il me regarde tout en ajustant le col de sa chemise et de son veston.
- Je ne peux pas rester plus longtemps, j'ai une mission à effectuer. Je te tuerai une autre fois.
Je me redresse un peu et je lui sourit.
- C'est une promesse, j'espère ? Peux tu me faire une autre promesse ?
Il range son arme et vient s'assoir sur le lit, à coté de moi.
- Lorsque tu viendras me tuer, j'aimerai refaire l'amour avec toi. Tu veux bien ?
Il se penche pour m'embrasser, puis se décale pour un baiser dans mon cou.
- Mission acceptée... Je peux aussi revenir te faire l'amour sans avoir envie de te tuer...
J'ai un grand sourire, du moins avant que j'embrasse mon amant avidement, les yeux fermés. Quand nos lèvres se décollent, je reste un instant penchée en avant, offrant mes lèvres... Rien ne se passant, j'ouvre les yeux et constate que je suis seule dans ma chambre.

Seuls mes habits déchirés, abandonnés par terre, témoignent que je n'ai pas rêvé.
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MessageSujet: Re: Carnet de Réléna   Carnet de Réléna EmptySam 28 Sep - 1:56

Réléna écrit dans un petit carnet de courtes histoires coquines...
Si elle avait été... Heero Yakamura






Découvertes sportives

Le directeur testa le micro avant de parler. Tout le collège avait les yeux fixés vers l'estrade, mais pas sur le directeur. Les 8 membres du club de volley étaient là sur l'estrade, ils étaient le centre d'intérêt de tous.
- Le lycée Yuji s'est hier couvert de gloire, grâce au talent de l'équipe de volley. Contrairement aux années passées, nous sommes qualifiés pour les seizièmes de finales, mais surtout, nous avons battus les champions en titre, le collège Watanabe ! Nous sommes fiers d'avoir une telle équipe de volley.
Le directeur se tut pendant que des applaudissements fusaient.
- On ferait mieux de s'y faire, chuchota Yasuo, ça risque de ne pas durer...
- Et pourquoi ça ne durerai pas ?

Yasuo n'eut pas le temps de répondre, le directeur demandait le silence et continuait :
- Et vous pouvez applaudir Heero, notre nouvelle vedette, car il a hier battu ses anciens camarades ! Sans hésiter, sans faillir, il a livré un match exemplaire, montrant sa détermination et son appartenance à notre collège !
*Collège que je quitterai en fin d'année, quoiqu'il arrive... Et ma détermination est proportionnelle aux avantages que je reçois...*
- Enfin, j'ai reçut ce matin, juste avant de venir, une très bonne nouvelle. Heero participera également au tournoi en tir à l'arc. Voilà donc deux espoirs d'augmenter le prestige de notre lycée afin que tous vous puissiez en profiter. Car ces athlètes pensent aussi et surtout à vous. Remporter des compétitions, augmenter le prestige donnera pour les prochaines années beaucoup de belles choses pour vous tous. Alors soutenez vos sportifs !

Quelques filles se présentèrent soudain avec un bouquet de fleurs, et les remirent à toute l'équipe. Le directeur paraissait être aux anges. La fille qui me remit le bouquet me fit un clin d'œil et me glissa un petit papier en douce. Le directeur continuait :
- Demain exceptionnellement il n'y aura pas cours, et je vous invite tous à venir encourager l'équipe de volley dans son prochain match. Bonne journée à tous !
Dès que j'eut un moment, je dépliais le papier : une adresse, et : Fête en votre honneur, 21h. Yasuo soupira
- Et zut, je croyais être le seul...

Avoir ses études payées, c'est bien, mais avoir un peu d'argent en plus, ça aide aussi. Je travaillais dans un restaurant le soir, et cette invitation tombait mal. Une fois de plus, Yasuo vint à ma rescousse.
- Appelle ton patron et explique lui, il sera d'accord pour te filer ta soirée.
- Mais...
- pas de mais, fait le.

Je le fis donc, et appris qu'en raison du peu de clients, il fermait plus tôt aujourd'hui. Je souris.

Et à 21h, j'étais devant une grande maison bruyante, remplie de monde et de musique. L'équipe arriva en même temps, et j'eus l'impression d'être accueillis en héros. Beaucoup de monde se pressa vers nous, et l'équipe fut séparée en un clin d'œil. La soirée se passa entre cocktail et boissons (sans alcool), et je découvrit ce que c'était que de prendre un bain de foule au milieu de fans. Je discutais un long moment, principalement de volley, ce qui était le meilleur moyen de vaincre ma timidité auprès des nombreuses filles venant me complimenter... Et j'en oubliais complètement l'heure. Puis une jolie fille, que j'avais déjà vu avec sa sœur, vint me voir et me glissa discrètement à l'oreille :
- Heero, pourrais-tu rendre un petit service à ma sœur ?
J'acquiesçais, timidement :
- Oui, que puis-je faire ?
- Viens, elle est en haut.
- Comment cela ?

Elle sourit :
- Tu ne le savais pas ? Nous sommes chez moi...
Je la laissai m'emmener à l'étage, et la suivi jusqu'à une chambre. Elle entra derrière moi. Sa sœur était assise devant un bureau, et sourit à mon arrivée.
- Oh, un gentil sauveur. Entre, Heero.
J'entrais, doucement, brusquement intimidé d'être dans la chambre d'une fille. Et de plus, quasiment inconnue, qui maintenant me faisait face.
- J'ai taché ma robe et je dois la changer, mais ma fermeture s'est coincée. Maya a voulu m'aider, mais...
Elle se tourna, présentant une longue fermeture dans son dos.
- Tu pourrais essayer, s'il te plait ?
Je répondis gauchement, et avança jusqu'à elle. J'essayais de ne pas frotter mes doigts contre sa peau en descendant la fermeture... qui ne coinça pas.
- Merci beaucoup...
En disant cela, elle se retourna, laissant sa robe tomber sur le sol. Mais elle n'avait rien dessous.

Je restait une seconde paralysé, sûrement rouge et ne sachant que faire. Elle en profita pour se serrer contre moi et m'enlacer, puis m'embrassa. Je posai mes mains sur ses reins, pour les enlever aussitôt, me rappelant qu'elle était nue. Elle prit alors une de mes mains et la posa sur sa poitrine. Je dus virer au rouge écarlate.
- Détends toi murmura-t-elle, et laisse moi faire...
Je commença alors à caresser son sein, alternant entre le téton et la poitrine. Puis de l'autre main, je commençais à lui caresser le dos. Fermant les yeux, je m'abandonnais aux baisers, et laissais ses mains parcourir mon dos. Jusqu'au moment ou je les sentis sur ma peau. J'ouvris les yeux pour la voir m'ôter ma veste et ma chemise. Puis elle se serra de nouveau, et sentir sa peau sur mon torse me fit frémir. Elle passa ses bars autour de mon cou et me regarda en souriant :
- J'espère que tu trouves ça agréable.
- Je.. heu.. oui...

J'avais bafouillé et je me sentais pris dans un piège, mais ne savais pas quoi inventer pour m'en sortir... D'autant plus que ça commençait à me plaire. Maya avait 15 ans comme moi, et sa sœur juste un an de plus. D'un coup d'œil, je vis que Maya était là, dans la chambre, appuyée contre la porte fermée et nous regardait. Impossible de savoir ce qu'elle pensait, la pièce était trop sombre pour que je distingue son visage. Je n'eus pas le temps de réfléchir plus, sa sœur reprenait ses caresses.
- Met ta main comme moi, sur mon épaule... et fait les mêmes caresses que je te fait.
Elle recommença à m'embrasser et à me caresser, et comme un miroir, ma main la caressait aux mêmes endroits... Puis je me raidis, sentant sa main passer sous mon pantalon, et s'arrêter à mon entrejambe. Je caressais également son entre-cuisses. Le temps parut s'arrêter. Elle était là, collée à moi, une main me caressant la nuque, sa tête sur mon épaule, sa bouche proche de mon cou. Je déglutis, et commença à tâtons à caresser sa partie intime. Elle frissonna, soupira et m'entoura la taille d'une jambe, avant de reprendre ses baisers, un peu plus appuyés... Puis elle frissonna, et parut faire un effort pour se détacher de moi. Sans me laisser le temps de dire quoique ce soit, elle mit un doigt sur mes lèvres, puis m'entraîna vers le lit ou elle se couchât, m'attirant sur elle. Je repris les baisers, descendant doucement vers son nombril, reprenant également mes caresses à cet endroit que je découvrais.

- On dirait que tu n'est pas si timide que cela.
Elle me souriait en disant ça, mais m'empêcha de répondre en m'embrassant. Puis ses mains me caressèrent les épaules le torse, les reins, et passèrent à ma ceinture, commençant à défaire mon pantalon.
- Je.. tu...
Je n'arrivais toujours pas à aligner trois mots, ce qui la fit sourire. Je sentis qu'elle me déshabillait totalement, et l'aidait à enlever totalement le reste de mes affaires. Nu dans le lit d'une fille, nue et enlacée. Pendant un instant, je la regardais, fixant son corps et son visage. Le contact de mon sexe gonflé de désir contre la peau de sa cuisse nous fit frissonner. Lorsque j'ouvris la bouche, de nouveau elle y plaça deux doigts pour me faire taire et murmura :
- Maintenant... Je dois laisser la place.
Je la regardais, étonné. Puis je sentis une personne venir sur le lit. Tournant la tête de l'autre coté, je vis Maya près de moi, agenouillée sur le lit, et me regardant bizarrement, avec un air à la fois emplit de désir, inquiet, timide. J'aurais continué à la regarder bouche bée si sa sœur ne m'avait pas fait comprendre que je devais me redresser. Une fois assis, Maya presque contre moi, je la vis porter ses mains derrière son dos. Au son, je compris qu'elle ouvrait sa robe... la même que sa sœur, d'ailleurs. Mes mains se posèrent sur les épaules de Maya qui me sourit, laissant ses bras le long du corps. Doucement, je descendis mes mains le long de ses bras, révélant doucement son corps... nu sous la robe.. évidemment. Une fois la robe au niveau de ses reins, Maya se pencha et m'embrassa doucement, hésitante.

Je passais mes mains dans son dos, la caressa un moment, puis elle se recula légèrement, comme gênée. Ma main se remonta à son épaule, et descendit doucement en la caressant. Je sentis sa peau parcourue de frissons. Je remontais à sa poitrine, caressant lentement les seins, contournant ses formes, titillant les tétons... Maya ferma les yeux et haleta, le corps tendu, réprimant un gémissement. Petit à petit, elle se reprit et me regarda, me détaillant de haut en bas. Brusquement elle rougit. Je jetais un coup d'oeil et compris la raison de son émoi. Je lui prit une main et la mena doucement vers mon sexe dressé. Elle eu une hésitation puis se laissa faire. Elle le toucha du bout des doigts, hésita, en fît le tour, alla tout le long et revint, n'osant presque pas le toucher... Je lâchais sa main, réagissant aux caresses, mon sexe se gonflant un peu plus... Elle s'enhardit, et ce fut mon tour d'haleter...

Je fermais les yeux quelques instants... Le temps parut disparaître... J'avais déjà oublié la fête qui se tenait à quelques mètres, à l'étage inférieur. Frissons, plaisir, découverte, râles... Je me penchais sur Maya, rencontrais un sein, le léchais doucement, puis suçais le téton... Les caresses de Maya devinrent saccadées, hésitantes, et j'entendis quelques gémissements. Je portais une main à son autre sein, que je malaxais sans brutalité. De saccadées, ses caresses cessèrent...

Je descendis lentement en la léchant, serpentant sur son corps sans cesser de malaxer son sein, m'arrêtais quelques secondes à lécher son nombril, ce qui valut autant de gémissements que de rires étouffés. Je lui retirait entièrement sa robe, puis plongeais entre ses cuisses. J'explorais ce territoire en la léchant, la sentant se trémousser, l'entendant gémir et haleter... Ce fut soudainement des cris de plaisirs qu'elle poussa. De la langue, je cherchais la zone la plus sensible, et je sus l'avoir trouvée lorsque je senti Maya comme électrisée...

Je remontais alors, embrassant Maya sur le ventre, un sein, le cou. Elle m'embrassa avidement, faisant tourner sa langue autour de la mienne, et passa ses bras dans mon dos, m'attirant tout contre elle. Mon sexe se frotta à sa cuisse en remontant jusqu'à son entrejambe, caressa son intimité et son clitoris, ce qui déclencha une petite série de râles chez Maya. Haletante, elle murmura :
- Oui, viens, vi... ahhhhh

C'était plus qu'une invitation, et je ne me fît pas prier... Je dus forcer légèrement l'entrée, et la pénétrais d'un coup sec. Elle se cambra en poussant un cri, puis laissa retomber, haletante. Doucement, je m'insinuais en elle...

Penché sur elle, je contemplais son visage , sa bouche entre-ouverte, Maya répondait à chacun de mes coups de reins par un halètement, ses yeux, fixés sur les miens, semblaient chercher quelque chose d'invisible... Puis elle rejeta sa tête en arrière, ferma les yeux et poussa des gémissements rythmés par mes mouvements. Je me concentrais sur mes va et viens et frémis en sentant que son sexe se serrait lorsque je la pénétrais, alors qu'elle semblait se détendre lors de mon retrait.

Puis elle se serra contre moi, passant la tête sur mon épaule, et le rythme s'accéléra doucement... Maya cessa ses gémissements pour des râles, que j'accompagnais de ma respiration rauque. Nous échangeâmes des demi-mots, de petits baisers passionnés, des regards avides mais toujours trop courts, et j'arrêtais de remettre sa longue chevelure en place... Son corps se trémoussait en gardant le rythme...

Je sentis mon estomac se nouer, une sensation me faire trembloter, tandis que Maya se laissait retomber sur le lit et m'emprisonnait de ses jambes. Je serrai les dents et essayais de me retenir, lorsque tout le corps de Maya parut se contracter. Le temps parut s'arrêter, puis Maya poussa un long cri que j'accompagna d'un râle sûrement aussi long, tandis que je me libérais enfin. Maya m'accueillit par des râles à chacun de mes spasmes, son sexe semblant boire avec avidité ma semence. Haletant, je me couchait sur elle, et nous ne pûmes qu'échanger de légers baisers.

Lentement, je sentis nos corps se détendre, et je basculais sur le coté afin de ne pas écraser Maya. Elle suivi mon mouvement, retardant le moment ou mon sexe quitterait le sien, comme pour en profiter encore... ce qui finit pourtant par arriver, et nous poussâmes tous deux un soupir... Elle se blottit dans mes bras, et nous attendîmes de reprendre notre souffle sans parler ni bouger, appréciant le moment.
- Je.. je l'ai fait, murmura t-elle
- Nous l'avons fait... Je... je n'ai pas senti... ta virginité.

Je regardais la chambre. Je n'avais même pas noté que sa sœur était partie. Maya rougit et se mordilla une lèvre.
- Si... mais ça... tu ne m'as fait mal... Je... je crois que... j'ai crié oui à ce moment-là...
J'ai acquiescé d'un signe de tête, je me souvenais de cet instant. Un long oui très joyeux.
- Tu es ma Première... Maya...
- J'ai aimé... devenir femme dans tes bras...


Elle sourit et m'embrassa. Puis ce fut un second, un troisième baiser... Mes mains descendirent en une caresse, son corps frissonna... Comme par un accord tacite, nous refîmes l'amour, aussi intensément que la première fois.
...
...
Lovée contre moi, sa tête sur mon épaule, une main sur mon torse, Maya s'endormit rapidement, et je ne tardais pas à la suivre au pays des songes. Mais lorsque je me réveillais, j'étais seul. Un petit cahier était posé à coté de moi, je le pris pour le feuilleter. Il y avait les articles parut dans la presse des lycées qui parlaient de moi. Cela se finissait par une page blanche, où était dessiné un cœur. Quelques mots accompagnaient ce dessin : "Je t'aime Heero – Maya" Je soupirais. Depuis combien de temps Maya m'aimait-elle ? Elle avait suivi mon ascension dans le sport sans jamais se montrer... Et où était-elle passée ?

Je me levais, m'habillais en hâte et sortis de la chambre, emportant le cahier. Mais il n'y avait plus personne dans la demeure, quoique de nombreuses pièces étaient fermées. J'attendis un moment au salon, jusqu'à l'arrivée d'un employé qui m'expliqua gentiment que je devais partir. Je lui demandais de dire à Maya que je souhaitais la revoir, mais il ne me sembla pas être pris au sérieux. Je revins le lendemain pour trouver la maison les volets clos. Maya s'était envolée, et je ne la revis jamais...

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MessageSujet: Re: Carnet de Réléna   Carnet de Réléna EmptySam 28 Sep - 2:06

Réléna écrit dans un petit carnet de courtes histoires coquines...
Si elle avait été... Michiru [Inspiré du manga : Frogman]





Il l'avait fait... et il n'en revenait pas.
Nager jusqu'à cette île, si loin, et presque sans repères... Il y a seulement quelques semaines, il ne savait même pas nager, cet exploit le laissait étonné, et lui donnait une nouvelle assurance. Bien sûr, Haruka y était pour beaucoup, sans son soutien et ses conseils, il n'aurait pas pû en arriver là. Le jeune homme le savait très bien, et il fit la première chose à laquelle il pensa... Il s'inclina devant elle, s'excusant de l'avoir fait pleurer lors du départ. La demoiselle fronça les sourcils et prétexta une poussière, avant de s'assoir face à la mer.

Michiru hésita quelques secondes... Il était seul avec elle, et de la côte, ils devaient être invisibles... C'était peu être le moment d'oser, car bientôt Haruka allait certainement donner le signal du retour. Michiru hésita juqu'à ce que, comme prévu, Haruka se relève et s'étire, avant de pointer la petite plage du départ. Il prit alors les devants en parlant, visiblement gêné...
- Haruka-sama... Je.. il y a quelque chose...
La demoiselle suspendit son geste et regarda le nageur, qui s'enhardit un peu.
- C'est le conseil que tu m'as donné... quand on nageait...
Michiru vit Haruka rougir, elle devait voir de quel conseil il voulait parler : afin de l'aider, elle lui avait conseillé d'arrondir sa main afin de réduire son effort... de l'arrondir comme s'il "tenait un sein" ! Haruka semblait attendre la suite... Le jeune homme rougit brusquement...
- Je.. je ne sais pas si je le fait bien... Je.. je n'ai jamais touché un sein.
A son tour, la demoiselle rougit beaucoup, ce genre d'aveux la gênait visiblement. Pourvu qu'elle ne dise pas qu'il fallait mieux rentrer...
- Haruka-sama... Est ce que... est ce que je peux toucher... est ce que tu me permet...
Michiru sursauta lorsque, les yeux fermés, Haruka laissa un petit "d'accord" s'échapper de ses lèvres... Elle s'assit sur un rocher, les yeux tournés vers l'eau. Le jeune homme s'approcha timidement, n'osant pas répéter sa question de peur qu'elle change d'avis, puis tendit la main en tremblant un peu.

Il frémit et eut un petit sourire... malgré qu'il ne fasse qu'effleurer le contour d'un sein. Il regarda Haruka, mais il ne pouvait voir son visage, et comme elle n'eut aucun geste, il s'enhardit un peu plus en avançant sa main sur le sein. Il resta un instant à tater, comme hypnotisé... et il ne faisait pas attention aux réactions de la demoiselle. C'est avec un peu de gêne, pas mal de regret et une pointe de difficulté à se contrôler qu'il dût cesser la découverte lorsque Haruka lui demanda s'il avait fini...
- Heu... oui... je... Merci Haruka-sama...
La réponse de sa camarade le surprit
- Ce.. c'était agréable...
Pendant une seconde, les deux jeunes se regardèrent, aussi rouges l'un que l'autre. Ce fut Haruka qui rompit le silence gêné.
- Tu... tu veux encore... toucher ? Un peu plus ?
Michiru n'eut pas le temps de s'étonner de la proposition car la demoiselle fit glisser une bretelle de son maillot, dévoilant presque entièrement un sein. Michiru déglutit, et crut que son coeur allait s'arrêter lorsque la demoiselle interrompit son mouvement. Il se força à relever un peu la tête, pour la voir hésitante et toute rouge... Timidement, il s'avança et souleva la seconde bretelle en tremblant un peu... s'attendant à recevoir une correction à tout moment ! Mais rien ne se passa, et Michiru fit glisser la bretelle doucement, dénudant le buste de la nageuse. Il resta une seconde immobile, à contempler la poitrine... Timidement, il posa une main sur un sein, et senti la demoiselle frémir.

Michiru eut un sourire, caresser un sein directement était plus agréable que par dessus le vêtement... Il jeta un coup d'oeil à Haruka, qui respirait plus vite et avait fermé ses yeux. Il continua ses caresses, et fronça les sourcils en sentant la poitrine durcir lentement... Il remonta un peu, tournant autour du téton avant de passer un doigt dessus, ce qui fit gémir Haruka.
Michiru recommença, provoquant le même résultat, puis revint sur le galbe des seins, recommençant à les caresser... Il tressaillit en sentant une mains de la demoiselle se poser sur le bas de son dos, qu'elle caressa tout doucement. Michiru se déplaça un peu, afin d'être à coté de son amie, pour qu'elle puisse l'enlacer et non essayer de l'attraper de loin... Et ainsi, le jeune homme pouvait mieux poser sa main sur la poitrine, ce dont il ne se priva pas. Il resta ainsi un long moment, émerveillé par ses découvertes et de la douceur de la peau d'Haruka, lorsque cette dernière posa une main sur la cuisse du jeune homme.
- Tu... je voudrais.. voir...
C'était presque un murmure, mais il avait fait tressaillir assez fort Michiru. Le jeune homme hésta une seconde, il allait être nu devant son amie ! D'un autre coté, rien que la main sur sa cuisse avait fait bondir son coeur, qu'allait il se passer avec la main sur son entrejambe ? Cela serait très surement agréable... Arrivé à cette conclusion, Michiru acquiesca avant de se déshabiller timidement.

Evidement, Michiru ne pût controler son excitation, et il banda aussitôt, étonnant visiblement la demoiselle qui n'hésita pas, elle, à prendre le membre en main. Michiru ferma les yeux, et remit les mains sur la poitrine de son amie. Bien vite, et malgré les tatonnemnts de la demoiselle sur son sexe, Michiru fût assez excité... Les caresses qu'il recevait avait fortement durcit son membre, et les caresses qu'il donnait semblaient avoir le même effet sur la nageuse. Il poussa lui aussi quelques gémissements, dont son amie fit écho.
- Ha.. ruka.. -chan...
Le jeune homme n'en pouvait plus... Il se pencha et embrassa la demoiselle, qui rendit le baiser tout aussi fougueusement. Soulagé, les baisers s'enchaînèrent rapidement, les deux jeunes gens devenant de plus en plus excités... Michiru prit Haruka dans ses bras, le temps de la soulever et de l'allonger sur le sable, la mer venant encore recouvrir leurs corps jusqu'au ventre...

Lentement, Michiru fit descendre ses mains, et emmena le maillot de la nageuse, la dénudant lentement et.. sans aucune opposition. Haruka bougea même afin que son maillot glisse le long de ses jambes, qu'elle remit de chaque coté du jeune homme ensuite. Elle n'avait pas laché le membre de son amant, et elle rouvrir les yeux afin de plonger son regard dans celui de l'apprenti nageur. Souriant encore timidement, et malgré des rougeurs sur ses joues, le jeune homme avait un regard de braise, il lui semblait que son corps était en feu, et qu'il en était de même pour son amie. Impression confirmée par un fougueux baiser, tandis qu'elle posait la virilité masculine contre son intimité...
Michiru respira profondément avant de donner un petit coup de reins, et de s'insinuer en Haruka qui se cambra en gémissant longuement. Il fit un petit va et viens, alla plus loin et s'arrêta à un obstacle... La demoiselle rouvrit les yeux et eut un large sourire avant de murmure un petit oui et d'embrasser fougueusement Michiru. Ce dernier attendit la fin du baiser pour donner un petit coup de reins, perçant la barrière secrète des jeunes demoiselles...

Le jeune homme tressaillit, se sentant retenu par un endroit chaud et serré qui palpitait... Lentement, au fur et à mesure de ses va et viens, il explora l'intimité jusqu'au fond, poussant des soupirs de bien être, alors que sa partenaire gémissait régulièrement en se cambrant. Michiru rougit un peu, et se laissa entrainer par le Plaisir, accélérant graduellement ses mouvements... Leur Plaisir fit un bond, les amants perdirent peu à peu le contrôle de leurs émotions. Il ne fallu que peu de temps aux deux amants pour crier leur jouissance, les laissant enlacés, haletants et hébétés de leur première fois...

Michiru resta un long moment allongé près d'Haruka, la caressant doucement. Ils se regardèrent longtemps, leur désir toujours aussi vivace, mais ils ne pouvaient rester... Une traversée à la nage les attendaient pour rentrer.


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